Le mariage est une union sacrée et solennelle au cours de laquelle deux personnes généralement de sexe opposé se promettent fidélité, amour et bien d’autres choses. Mais tout comme on le dit souvent, nul ne connaît l’avenir et l’on ne peut jamais tout prévoir. C’est ainsi que des troubles peuvent surgir de nulle part et conduire au divorce. Lorsqu’on parle de divorce, il en existe de deux formes. Découvrez les dans cet article.
Le divorce par consentement mutuel
Dans cette forme de divorce, la décision de divorcer est prise par les deux conjoints. Le divorce, comme le mariage a un coût. Si vous souhaitez Savoir combien ça coûte, lisez ceci. En effet, cette forme de divorce a été créée pour alléger la tâche aux juges dans les tribunaux. Généralement, lorsqu’on parle de divorce, l’on pense beaucoup plus à un juge, au tribunal. Pourtant, le divorce par consentement mutuel ne nécessite pas la présence d’un juge puisque tout a déjà été établi par le couple à savoir la garde des enfants, la pension alimentaire, les visites ce qui revenait autrefois au juge. Ainsi, les conjoints après avoir tout établi prennent chacun un avocat et se présentent devant le notaire pour le prononcé du divorce. Cette forme de divorce paraît d’ailleurs plus simple et sans quiproquo. De même, elle dure moins que le divorce pour faute. Bien qu’il n’y ait pas été établi un délai fixe par le législateur, le divorce par consentement mutuel dure 7 mois au total.
Le divorce pour faute
Nul ne se marie pour divorcer et tout comme le mariage, le divorce a un coût. Le divorce pour faute se présente comme une rupture du contrat de mariage à la suite d’un acte jugé insupportable ou un situation insupportable causé par l’un des conjoints. Par exemple, peut être une cause de divorce pour faute, l’infidélité d’un conjoint à condition que l’un en rapporte les preuves devant le juge. Si l’épouse rapporte des preuves telles des photos de l’infidélité de son homme, le juge peut alors prononcer le divorce à la demande de la femme. L’époux lui peut être sommé de verser des dommages intérêts pour réparer la faute.